En ce 22 août, fête de Marie Reine, nous avons commémoré les 10 ans – jour pour jour – de l’inauguration de notre monastère, première fondation en terre polonaise.
Pour l’occasion, Mère Marie des Béatitudes, Ancelle du monastère de Thiais dont nous dépendons, était venue avec Sœur Marie du Christ, Ancelle il y a 10 ans et Sœur Marie Mathilde qui représentait le monastère de Saint Doulchard. Nous étions donc 10 Annonciades !
Monseigneur Mering, déjà présent il y a 10 ans, présidait la messe solennelle de 12h. Il était entouré du Père Kumala, recteur du sanctuaire, du père Binda, supérieur de la Communauté des Pères Mariens de Licheń et de quelques autres pères ou diacres dont le Père Eugène Zarzeczny, qui a prononcé l’homélie.
Au début de la célébration, le Père Kumala a rendu grâces pour notre présence priante pour les pèlerins qui viennent au sanctuaire, pour la paroisse, pour les Pères Mariens et pour ce diocèse de Włocławek.
Dans son homélie le Père Eugène a indiqué que les fidèles trouvaient au monastère un profond amour de Dieu et de la Vierge Marie. Marie, qu’il a comparée au buisson ardent de l’Ancien Testament qui s’est consumé sans brûler. Le feu de Dieu a permis à Marie de comprendre le sens de sa vie. Le plus grand plaisir de Dieu est de voir un cœur ouvert qui lui fait confiance.
A la fin de la célébration, après un joyeux Magnificat, Mère Ancelle s’est adressée à tous :
Dans le Magnificat, la Vierge Marie chante la miséricorde du Seigneur qui « s’est penché sur son humble servante ». Certaines traductions osent: « Il a regardé l’humiliation de sa servante », non pas seulement l’humilité, mais l’humiliation de sa servante. Ainsi l’Ordre de l’Annonciade tout comme la congrégation des Pères de L’Immaculée Conception, à l’imitation de Marie, et à la suite de leurs fondateurs, ont connu l’humiliation qui vient des hommes: révolutions, guerres, oppression, haine de Dieu. Humiliés par les hommes mais toujours sauvés par Dieu.
La Vierge Marie notre Exemplaire, qui a mis sa force en Dieu, nous trace la route de la pauvreté et de la fragilité remises entre les mains du Tout Puissant. Car lorsque l’Annonciade fut appelée en terre Polonaise, elle était ce qu’elle demeure : un Ordre fragile et peu nombreux. Mais comme pour la Vierge Marie qui fut confiée à la sollicitude de Saint Joseph, la communauté de Grąblin fut confiée à la prévenance de leurs frères Mariens et à la vigilance paternelle de Monseigneur Mering. Combien de visages, combien de rencontres, Je pourrais chanter une litanie avec les noms des frères qui nous ont accompagnées et que nous aimons vraiment, mais je craindrais d’en oublier un. Mais dans le secret de notre prière, il n’en manque aucun. Il n’est pas étonnant que nous fêtions avec solennité le « Oui » de Marie à l’Annonciation mais il n’y a pas de fête pour le oui de Joseph!!
 Alors en ce jour de fête et d’action de grâces nous sommes pleines de reconnaissance pour ce Oui que la congrégation et plus particulièrement la province de Pologne à offert au Seigneur en faveur de L’Annonciade.
Monseigneur, chers Pères et frères, merci de nous permettre d’accomplir en Pologne, notre mission de louange et de présence Mariale annonçant aux hommes la gratuité de l’Amour de Dieu  qui prend soin de ceux qui mettent en lui leur confiance.Que la Vierge Marie étende sur le Diocèse de Wloclawek, sur la congrégation des Père Mariens et sur cette terre de Pologne sa protection maternelle. Au nom de tout l’Ordre; merci.
Après les remerciements de Sœur Louis Marie à l’organiste et au chœur qui accompagnent depuis 10 ans les solennités spécifiques à l’Annonciade, vinrent les remerciements qui nous furent adressées par le conseil paroissial de Licheń ainsi que ceux d’un groupe d’évangélisation par internet.
Pour finir Monseigneur Mering a rappelé l’importance de la vie consacrée sur notre diocèse qui fêtera sous peu ses 900 ans d’existence.Après la messe, nous avions invité à un repas fraternel Monseigneur ainsi que les prêtres et diacres présents.Ce fut une très belle journée dont nous rendons grâces à Dieu et à sa Mère.
En ce 22 août, fête de Marie Reine, nous avons commémoré les 10 ans – jour pour jour – de l’inauguration de notre monastère, première fondation en terre polonaise.
 Pour l’occasion, Mère Marie des Béatitudes, Ancelle du monastère de Thiais dont nous dépendons, était venue avec Sœur Marie du Christ, Ancelle il y a 10 ans et Sœur Marie Mathilde qui représentait le monastère de Saint Doulchard. Nous étions donc 10 Annonciades !
 Monseigneur Mering, déjà présent il y a 10 ans, présidait la messe solennelle de 12h. Il était entouré du Père Kumala, recteur du sanctuaire, du père Binda, supérieur de la Communauté des Pères Mariens de Licheń et de quelques autres pères ou diacres dont le Père Eugène Zarzeczny, qui a prononcé l’homélie.
 Au début de la célébration, le Père Kumala a rendu grâces pour notre présence priante pour les pèlerins qui viennent au sanctuaire, pour la paroisse, pour les Pères Mariens et pur ce diocèse de Włocławek.
 Dans son homélie le Père Eugène a indiqué que les fidèles trouvaient au monastère un profond amour de Dieu et de la Vierge Marie. Marie, qu’il a comparée au buisson ardent de l’Ancien Testament qui s’est consumé sans brûler. Le feu de Dieu a permis à Marie de comprendre le sens de sa vie. Le plus grand plaisir de Dieu est de voir un cœur ouvert qui lui fait confiance.
 A la fin de la célébration, après un joyeux Magnificat, Mère Ancelle s’est adressée à tous :
 Dans le Magnificat, la Vierge Marie chante la miséricorde du Seigneur qui « s’est penché sur son humble servante ». Certaines traductions osent: « Il a regardé l’humiliation de sa servante », non pas seulement l’humilité, mais l’humiliation de sa servante. Ainsi l’Ordre de l’Annonciade tout comme la congrégation des Pères de L’Immaculée Conception, à l’imitation de Marie, et à la suite de leurs fondateurs, ont connu l’humiliation qui vient des hommes: révolutions, guerres, oppression, haine de Dieu. Humiliés par les hommes mais toujours sauvés par Dieu.
 La Vierge Marie notre Exemplaire, qui a mis sa force en Dieu, nous trace la route de la pauvreté et de la fragilité remises entre les mains du Tout Puissant. Car lorsque l’Annonciade fut appelée en terre Polonaise, elle était ce qu’elle demeure : un Ordre fragile et peu nombreux. Mais comme pour la Vierge Marie qui fut confiée à la sollicitude de Saint Joseph, la communauté de Grąblin fut confiée à la prévenance de leurs frères Mariens et à la vigilance paternelle de Monseigneur Mering. Combien de visages, combien de rencontres, Je pourrais chanter une litanie avec les noms des frères qui nous ont accompagnées et que nous aimons vraiment, mais je craindrais d’en oublier un. Mais dans le secret de notre prière, il n’en manque aucun. Il n’est pas étonnant que nous fêtions avec solennité le « Oui » de Marie à l’Annonciation mais il n’y a pas de fête pour le oui de Joseph!!
 Alors en ce jour de fête et d’action de grâces nous sommes pleines de reconnaissance pour ce Oui que la congrégation et plus particulièrement la province de Pologne à offert au Seigneur en faveur de L’Annonciade.
Monseigneur, chers Pères et frères, merci de nous permettre d’accomplir en Pologne, notre mission de louange et de présence Mariale annonçant aux hommes la gratuité de l’Amour de Dieu  qui prend soin de ceux qui mettent en lui leur confiance.Que la Vierge Marie étende sur le Diocèse de Wloclawek, sur la congrégation des Père Mariens et sur cette terre de Pologne sa protection maternelle. Au nom de tout l’Ordre : merci.Â
Après les remerciements de Sœur Louis Marie à l’organiste et au chœurqui accompagnent depuis 10 ans les solennités spécifiques à l’Annonciade, vinrent les remerciements qui nous furent adressés par le conseil paroissial de Licheń ainsi que ceux d’un groupe d’évangélisation par internet.
Pour finir Monseigneur Mering a rappelé l’importance de la vie consacrée sur notre diocèse qui fêtera sous peu ses 900 ans d’existence.Après la messe, nous avions invité à un repas fraternel Monseigneur ainsi que les prêtres et diacres présents.Ce fût une très belle journée dont nous rendons grâces à Dieu et à sa Mère.